Statistiques de l’arbitrage de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™
Il y a quelques jours, la Française Stéphanie Frappart a donné le coup de sifflet final de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019™. Avec le recul, la FIFA est aujourd’hui en mesure de dresser un bilan positif de la performance des arbitres et de l’utilisation des arbitres assistants vidéo (VAR), cette dernière ayant contribué au succès de l’arbitrage tout au long du tournoi.
Le président de la Commission des Arbitres de la FIFA, Pierluigi Collina, a souligné l’excellent travail réalisé par le département de l’Arbitrage de la FIFA et en particulier par Kari Seitz, directrice de projet pour France 2019.
« Je l’ai déjà dit en France : les arbitres ont travaillé très dur, ces dernières années. Les performances constatées sur le terrain correspondent parfaitement à nos attentes. Je suis également satisfait de voir que la VAR a très bien fonctionné. Nos arbitres ne se sont initiées à cet outil qu’à l’issue de la Coupe du Monde de la FIFA 2018. Elles ont donc dû suivre une préparation intensive pour être prêtes à temps pour la Coupe du Monde Féminine. Globalement, les arbitres ont réalisé un travail remarquable. Je suis fier de ce que nous avons fait ensemble. »
L’utilisation de la VAR a suscité un vif intérêt pendant la Coupe du Monde Féminine, comme en témoigne le débat très animé sur le football et ses règles en marge de la compétition.
« Il appartient aux arbitres de faire appliquer les lois et elles ne peuvent en aucun s’en abstenir. Si une règle existe, les arbitres doivent la faire appliquer, à plus forte raison si des outils comme la VAR ou la technologie sur la ligne de but sont disponibles. C’est ce que les arbitres ont fait en France. »
La FIFA poursuit ses efforts pour améliorer et développer le niveau de l’arbitrage, mais aussi aider toutes les associations membres et les championnats qui souhaiteraient s’engager en faveur de la mise en place des VAR.
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